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> Sortie de l'album RELIGHT le 9 Novembre 2009

LA PRESSE UNANIME

Télérama "Un travail d'orfèvre où chaque son est à sa place, chaque arrangement réfléchi, chaque silence maîtrisé..."

Trax "Un disque captivant..."

Niztech.fr "...un des meilleurs albums electro dub de 2009 !"

Lylo "palette sonore irrésistible et impeccable où l'électro-dub le plus fin se fond dans un trip-hop lumineux et sensuel..."

Trip-Hop.net "... ambiances lascives, voluptueuses, groovy, voire envoûtantes... cet album, il faut apprendre à le déguster...."

Tsugi "... Dubphonic is massive...."

Longueur D'Ondes "Avec sa fausse légèreté "Relight" devient rapidement addictif et nous transporte sans crier gare dans l'univers foisonnant de ses sons impeccablement produits..."

Rock&Folk "... Dub qui lorgne vers un electo-ambient élégant mais qui n'hésites pas à jouer la carte mélodique..."

Musicstory.com "... Le groupe n'a rien perdu de son art pour tisser des atmosphères enveloppantes comme le démontrent le splendide "Nora Sun" et le lunaire "Parachute" ..."

Les Inrockuptibles "... un album envoûtant...En quelques breaks, ce deuxième essai dévoile toute sa profondeur et sa virtuosité. Tout est savamment orchestré, jusqu'au moindre cliquetis, pour créer un grand torrent purificateur de l'âme et des conduits auditifs... "

Keyboards Recording "... le trio se montre parfois voluptueux ("All you weed is love", "Friday"), mental ("Nora Sun") ou adepte d'un groove pachydermique et lysergique ("Afronauta")... Quoiqu'il en soit, Dubphonic donne toujours envie de le suivre à travers ses périgrinations soniques "

Mondomix "... Dub electrosoft ou énervé, trip hop chanté, ambient décomplexé, hip hop caoutchouteux… des plus ouverts ce Relight n’est pas pour autant un rendez-vous de courants d’air. A chaque titre son émotion, son atmosphère... "

Disponible en cd (CD035 Hammerbass/Module) et en digital

Un album soft mais prenant (Coda), élégant mélange aux effluves jamaïcaines (Le Monde), des compositions lancinantes (20 Minutes), sublime qualité de son et fluidité absolue (Reggae.fr), un dub qui se fond dans l’électro-ambient et se fait chamanique jusqu’à prendre la forme d’une envoûtante installation sonore (Télérama), Dubphonic étire ses rivages sensuels sous des astres bienveillants et bien leur en prend (Keyboards)...
Telles sont quelques unes des critiques qui ont salué la sortie de Smoke Signals (2003), premier album de ce trio parisien après un maxi cultissime enregistré pour le label américain Guidance. Entièrement instrumental, ce disque fera le bonheur des illustrateurs sonores et music supervisors, certains titres figurant aux génériques des prestigieuses séries américaines Six Feet Under et Dexter
Une tournée en première partie des Japonais d’Audioactive et quelques concerts parisiens plus tard, le groupe décide de retourner en studio pendant que leur remix d’Orozco des Autrichiens Tosca fait le tour du monde et que plusieurs morceaux de l’album apparaissent sur de nombreuses compilations en France et à l’étranger.
Si l’inspiration est là, Stefane Goldman (guitares), Alexis Mauri aka Alexkid (programmation/réalisation) et Sylvain Mosca (programmation) ne se satisfont pas du résultat et mettront trois ans à réunir une dizaine de compositions qu’ils jugent dignes d’être enregistrées pour un nouvel album intitulé RELIGHT. Au cours de ce lent processus de création, quatre morceaux vont s’imposer comme des chansons pour l’interprétation desquelles le groupe va solliciter trois chanteuses : la Cubano-américaine Liset Alea (entendue sur les albums 2 et 3 d’Alexkid pour F-Com), la Brésilienne Céu (dont le nouvel album Varagosa est sur le point de sortir en Europe), Daniella D’Ambrosio (Nouvelle Vague et la voix d’Air France avec Aswefall) et le chanteur anglais Mau, co-fondateur du groupe Earthling.
Si les trois membres originaux du groupe tiennent toujours la majorité des instruments et restent les principaux compositeurs du répertoire, ils se sont entourés de Jean-Philippe Rykiel et Rodriguez Junior (ex Youngsters) aux pianos, Jérémie Poirier-Quinot à la flûte, Seep - co-compositeur de deux titres - au synthétiseur et Prince Zober aux percussions, enrichissant ainsi leur palette sonore sans pour autant renier l’essence cinématographique de leur musique.

NEW ALBUM RELIGHT RELEASED NOVEMBER 9 2009 CD (HAMMERBASS/MODULE) AND DIGITAL

A soft but breathtaking album… an elegant blending with Jamaïcan flavours… Haunting compositions, absolute fluidity and clearlight sound quality… their dub fades into electro-ambiant chamanism and becomes a magic sound installation…

From Le Monde to 20 Minutes, from Keyboards Magazine to Telerama, reviews of Dubphonic’s Smoke Signals (2003) were unanimously positive. First album of this French trio after a cult 12” for the Chicago based label Guidance Recordings, Smoke Signals – entirely instrumental - soon became a music supervisors favorite with tracks being picked up for series such as Six Feet Under and Dexter…
After a tour with Japanese band Audioactive and a handful of concerts, and while their remix of Tosca’s Orozco was being spun all around the world, and original tracks of Smoke Signals were appearing on numerous compilations. the band went back into the studio in 2004.
If inspiration met the rendez-vous, Stefane Goldman (guitars/electronics), Alexis Mauri aka Alexkid (programming & production) and Sylvain Mosca (programming & electronics), were not fully satisfied with the results and agreed that time would not be an issue, since they wanted the best for their second album. Four years in-and-out of the studio later, eleven new compositions were completed and finalised for Relight.
During the deliberatly slow creative process, four of these new pieces naturally evolved into songs with guest vocals by Cuban-American Liset Alea (previously heard on Alexkid’s second and third album), Euro-American Daniella D’Ambrosio (Nouvelle Vague, Aswefall), Brasilian Céu (whose new album Varagosa is about to be released in Europe) and English Mau (co-founder of Earthling and various other projects).
The band members have played most of the instruments and and written most of the repertoire themselves, for certain special moments they called in brilliant musicians such as Jean-Philippe Rykiel and Rodriguez Jr. on electric piano, Jérémie Poirier-Quinot on flute, Seep on synthesizer and Prince Zober on percussions. Their input and the various palette of the guest singers/writers enriches the band’s unique sound while keeping the cinematic essence of their music, more obvious than ever in tracks like « Nora Sun », « Last Resort Hotel » or the magnificent closing number « Outland ».

www.hammerbass.fr

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