> Quadri+Chromies

Au mouvement abstrait des formes, aux évènements erratiques des couleurs s’associe une musique bruissante, mouvante, hérissée d’incidents, zébrée de décharges sonores, comme hésitant entre la contemplation et l’urgence. La beauté de l’image comme la beauté de la musique semblent de la même manière ne pas se soucier du vocabulaire artistique du moment. L’expérience est hors norme, hors époque.
(Le Figaro)

Il y a presque un siècle Kandinsky racontait que lorsqu’il écoutait de la musique, il voyait des images bouger. Aux sensations nées du son, il associait naturellement des enchevêtrements de couleurs, des danses de lignes, de ronds et de carrés. Caillaud et Zazou sont les petit-fils de Kandinsky…
(Chronicart)

Aux agencements géométriques et couleurs vives qui défilent par bandes verticales ou horizontales répond un environnement sonore délicat plein d’abstractions laptopiennes et acoustiques. Une ouevre à part qui s’écoute et se regarde comme une pièce exposée dans un musée d’art contemporain.
(Coda)

> Strong Currents

Cet album, on a envie de le raconter comme une histoire : mais chacun trouvera la sienne, à l’écoute d’un monde autrement vu, autrement ressenti, autrement reconstruit – entre électro, acoustique, urbain et sacré… sur la planète Zazou riment intime et grands espaces, l’un et l’autre battus de courants revivifiant. Respirez.
(Télérama)

Étrange et beau … arrangements riches, subtiles et parfois décalés… Strong Currents n’hésite pas à allier les instruments les plus classiques et les sonorités les plus déjantées... Résolument intimiste, cet album n’en semble pas moins ouvert sur des horizons immenses, fantasmagoriques et dérivants…
(Keyboards Magazine)

Une larme d’électro doucereuse, une vague d’instruments traditionnels qui se muent en un déluge d’émotions fortes, un peu comme une pastille à la menthe qui continuerait de diffuser son parfum, longtemps après
(Les Inrockuptibles)

L’iconoclaste Zazou revient avec un album qui hache la brume à grands coups de mélopées vocales somptueuses… Incontournable.
(Optimum)

C’est là une oeuvre rare ayant toutes les qualités d’un travail de synthèse longuement mûri… et qui marque l’accession du musicien a un degré de maturité impressionnant
(Octopus)

Le meilleur Zazou ?
(Nouvelle Vague)

À écouter au casque, la tête enfouie sous l’oreiller, les larmes au bord des yeux…
(Presto !)

Assurément le disque le plus féminin de la rentrée par l’un des poètes musicaux les plus inspirés de notre époque…
(Jalouse)]

Et comme toujours, l’ensemble est subtil, pénétrant, inclassable. Zazou reste un maître.
(Start Up)

On écoute son disque Strong Currents comme un lent mouvement sensuel et amoureux, comme une invitation dans les hautes sphères des émotions pures…
(Station Service Strasbourg)

Les larges compositions acoustiques, inclassables – d’Hector Zazou – à la tête d’une sublime collection de voix féminines – peuvent créer, dans demi-obscurité, de voluptueux courants d’air iodé. Le disque s’appelle Strong Currents et c’est très beau.
(Zurban)

Une production imparable, d’une minutie étonnante où rien n’est laissé au hasard crée un univers complexe, à la fois intime et immense. Hector Zazou est fin et sa musique est riche, secrète aussi et cet album pourrait bien devenir un classique du genre.
(New Comer)

Le ton est à la grâce avec son infini cortège d’harmonies amies, sa fluidité et son grand raffinement. Magistralement mis en sons, parfaitement maîtrisé, Strong Currents est un album indispensable… à tous ceux que la musique passionne, aux férus de sensualité vocale et de rigueur harmonique…
(Rolling Stone)

Tendu ici et là de cordes virginales, ce disque repose sur des voix inspiratrices qui, chacune leur tour, rivalisent de pureté et d’angélisme
(Magic)

Enivrant comme une gigantesque tempête d’oxygène
(Courrier Cadres)


> 12 (las vegas is cursed) with sandy dillon

This is the work of two geniuses of modern music
(La Luna del Siglo XXI/Spain)

A flabbergasting baroque opera, a series of intriguing sonic scenes mixing electronic rock and altered chamber music… This is for sure the most astonishing album of the new year
(Keyboards/France)

Las Vegas Is Cursed is a very spectacular album
(Rockerilla/Italy)

Hector Zazou and Sandy Dillon have written a suite of 12 pieces dedicated to implosion and risk-taking
(Le Monde/France)

Like an unlikely meeting between water and fire… Disturbing but fascinating,
(Le Soir/Belgium)

The 12 cuts here are a naroctic montage of stops and starts, of shadows and ambient, of horns interludes, ominous percussion and weeping guitars – all of which captures Dillon unpredictable instincts with precision
(The Register/UK)

A UFO crashed on Las Vegas… unpolished, cutting, disturbing…it scrapes the superficial, it eats like acide, it is fascinating, it grows on you.
(Longueur d'Ondes/France)

One of the most adventurous albums I've heard in a long while, this is essential listening for those "without fear of wind or vertigo".
(Richard di Santo/www.incursion.org)]

Is Sandy Dillon an angel ? Probably more of a witch, but baroque and pure, visited by the angel of oddity. With her ageless sailor raucous voice, a thinness that would make Patti Smith freak out, and her sardonic and sexy spider dances, she has given one of the most enthralling concert of the Festival (Printemps de Bourges), like a shot of pure rum in a wine-tasters conversation. Her derailed blues à la Tom Waits is backed up by a band r adiating energy and brightness, featuring Hector Zazou on guitar and Theremin (the mysterious and rustic ancestor of musical electronic).
(Le Figaro/France)

 

> lights in the dark - français


Un CD où musique sacrée et musique contemporaine se côtoient merveilleusement… (l'Humanité Hebdo – Oct. 98)


Un éblouissement musical poté par des voix d'une rare élégance, claires, sensibles, captivantes… (L'Express – Oct. 98)


L'inspiration de Zazou pour les arrangements contemporains comme son talent d'organisateur de tempéraments amplifient ce matériau ancien… (World – Oct. 98)


L'Apaisement et la sérénité pour un voyage au cœur d'un pays mythique… (Tendance – octobre 98)


Un disque habile et séducteur… (Le Monde de la Musique – Sept. 98)


C'est vif, élégant, déconcertant… (marie France – Sept. 98)


Ce voyage aux origines des chants sacrés d'Irlande a tout pour plaire au public d'aujourdhui : ancrage dans le passé et sons sidérants du futur, selon un dosage soigné… CD tout à fait original, éclair dans le ciel discographique... (Les dernières Nouvelles d'Alsace – Août 98)


hector Zazou a su créer un univers musical qui ne travesti pas le chant et sa pureté. Un travail tout en finesse avec juste ce qu'il faut d'accompagnement… (Le Trégo – Juillet 98)


On pensera bien sûr aux mélopées sans âge de Dead Can Dance, mais le sens de l'espace et de l'aération n'appartient qu'à Zazou… (Blah Blah News – Juillet 98)


Cette musique qui prend irrésistiblement aux tripes concilie sans heurts l'ancien et la conception moderne du beau son… Il s'agit bien d'un extraordinaire voyage à travers le temps… (Le Télégramme Juillet 98)


Le temps de la ferveur ne connaît pas de ruptures. L'espace musical abolit les frontières… Lights In The Dark – mais rien de sombre ici, où la beauté éblouit… (Télérama – Juin 98)


Une expérience lumineuse qui établit un pont magique entre musique new age et chants religieux celtes… (Le Point – Juin 98)

 

> lights in the dark - English


A catchy, spaced-out journey to the source of sacred Irish songs… a mix of pagan and Christian folk religion in an intimate, eccentric, electronic chill-out. Works well.
Top Five Albums of the year (98) (The irish Times – December 98)


A bright shining light… (The Irish Voice – November 98)


A really beautiful album full of quiet moments and sonic treasures… (www.users.bigpond.com – November 98)

 


> chansons des mers froides - français


De la Laponie au Japon en passant par l'Islande, HectorZazou popose un voyage empli de quiétude et de sagesse à travers les banquises, avec Björk à la proue, pas étonnant qu'elles fondent comme neige au soleil (L'Indic – Février 95)


Une œuvre riche, sensible, inclassable (Ensemble – février 95)


C'est simple, beau et pur (La Tribune – Février 95)


Ce disque est un plaisir d'esthète, soyeux comme une neige, lumineux comme les aurores du plus lointain nord. Le plus urgent et dépaysant des voyages… (Le Figaro – Février 95)


il faut entrer dans cet univers parce qu'à son sortir, toutes les références sont tombées dans la nuit des tempos et qu'explose alors l'envie de faire demi-tour pour se laisser à nouveau happer… (Presse Océan – Février 95)


A la manière d'un This Mortal Coil dans ses meilleurs moments mais doté d'un champ d'expérimentation plus vaste, Zazou – muicien iconoclaste et touche à tout de génie - ressucite chansons de marins et airs anciens avec la rigueur d'un archéo-musicologue et l'émotion novatrice d'un compositeur hors-norme (Rock Sound – Mars 95)


On entre dans un monde nouveau pour nous : un autre monde, où nous sommes pris, non par les glaces, mais par la force de la mémoire et de la magie de ces chants. Peu d'entre eux sont chamaniques et pourtant nous les ressentons comme des sortilèges. Qualifier de "planante" la beauté de ces jaillissements serait dévaloriser l'enthousiasme qu'elle inspire, l'enchantement ressenti… (Télérama – Mars 95)


Son dernier album est une merveille intitulée Chansons des Mers froides (La Voix De l'Etudiant – Mars 95)


Délié, galactique, le style mélange les éléments de l'urbain et la profondeur des espaces naturels… Un univers intérieur si complexe qu'il transforme ce projet en un lac profond, mais sans vague… (Le Monde – Mars 95)


Björk qui sait si bien retrouver dans sa gorge les sons des mots qui roulent et se cassent pour grimper vers le ciel, au-dessus d'une mer dont le sel à le goût des larmes (Libération – Mars 95)


Autant de souffles d'air pur ou de sources limpides jaillis de la nuit des temps… (Exit – Mars 95)


Des arrangements sublimes, un album remarquable (Ouest France – Mars 95)


Zaou a pris le temps nécessaire à la maturation de son album. Les Chansons Des Mers Froides cachent la chaleur de la perfection. Elles se dégustent comme des friandises rares… (Rock Style – Mars 95)


Quel voyage ! Zazou a toujours larrangement judicieux et surtout le sens de l'instant qu'il faut à tout prix conserver.On admire l'élégance du résultat, l'alternance des nuances… De la world musique intelligente (Magic Mushroom – Mars 95)


A l'arrivée, un disque atmosphérique et cohérent, intelligent et pur, véritable réussite du genre… (Prémonition – Février 95)


En éternel chercheur d'or, Hector zazou nous livre ici, dans la pureté solaire, séculaire et lunaire de la uadrature du cercle polaire, les mille et une nuits enchanteresses de ce Grand Nord.. éblouissant et parsemé de belles étoiles… (Azimut – Avril 95)


Zazou agit en artiste qui cherche à rapprocher les hommes (pour les changer) à travers l'intégration et la découverte d'autres cultures, aussi éloignées soient-elles… Un lbum à l'âme chaleureuse, inclassable, à l'image de son concepteur… (Le Monde de la Musique – Mai 95)


Des voix superbes, un habillage de studio impressionnant, un régal (Novart – Juin 95)

 

> songs from the cold seas - English


The icing on this cake is Zazou's electronic treatments rife with distorted and industrial samples taken from Northern percussion instruments and from the collection of the Parisian ambient dance band Lightwave… (keyboards Uk – 95)


A musical mission… (The new York Times – May 95)


Think of This Mortal Coil's take on Tim Buckley's "Song To The Siren" and you'll have an instant aural picture of the landscapes this album creates – dark and desolate, haunting and haunted… (Alternative Press – May 95)


Zazou is to be noted for his ability to assume a position in these ancient songs that is neither intrusive, nor invisible. As a producer he is a master of his craft, a sharer rather than a taker or a giver… Where to start describing an album of eleven marvelous experiments ? (Dirty Linen – August 95)


It creates an aural environment that has more than enough room for all the world's sounds (Sun/baltimore – May 95)


Breathtakingly beautiful… Trust me, you've never heard anything quite like this before (Philadelphia Daily News – May 95)


A common thread shared by the record's ten songs is a haunting, almost eerie sense of mysticism…Songs From The Cold Seas is daunting, sexy, intriguing, hypnotic, and, in some places, pretty terrifying (Lollipop Magazine – May 95)
No producer has coaxed a better performance out of Björk than the breathy and passionate account she gives of an old icelandic lament. When it comes to designing sympathetic environments for extraordinary female voices such as hers, Zazou consistently shows he is hard to beat (The Sunday Times – April 95)


What we have here are some irresistibly gorgeous songs… (The Wire – April 95)


Zazou pulls it off again with a touch of alchemy (Select – April 95)


It's the traditional elements and singers who dominate, the music dealing heavily in emotion, ambiance, spacy atmospheres and spartan instruments (Q Mgazine – May 95)


Everywhere it's Zazou's electronic treatments that provide the icing on the cake, and pull everything together in a sonic universe that's as sstark as alien as the endless ice and snow-filled plains and cold seas of the North… A unique musical experience (Sound on Sound – June 95)