> émilie simon

emilie simon l'olympia

> sortie de l'album "L'Olympia" le 5 Mars 2007
> sortie du DVD "L'Olympia" le 5 Mars 2007

(Barclay Universal)

 

 

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emilie simon The Flower book

> sortie de l'album "the Flower Book" aux USA. 15 titres extraits du premier album, de "La Marche de L'Empereur" et de "Végétal"

(Milan Records)

 

 

 

 

 

emilie simon Végétal

> sortie de l'album "Végétal" le 6 Mars 2006

(Barclay Universal)

Victoires de la Musique 2007 (France) : Meilleur album de musique électronique

 

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emilie simon La Marche de l'Empereur

> sortie de l'album de la bande originale du film "La Marche de L'Empereur" le 10 Janvier 2005

(Barclay Universal)

Victoires de la Musique 2006 (France) : Album de musique originale de cinéma ou de télévision de l'année.
Festival de Pyongyang (Corée du Nord) : Prix de la meilleure musique de film.

 

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emilie simon flowers

> sortie du maxi "Flowers" le 20 0ctobre 2003

(Barclay Universal)

 

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emilie simon premier album

> sortie de l'album le 4 Février 2003

(Barclay Universal)

Victoires de la Musique 2004 (France) : Meilleur album de musique électronique

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> Excellentes critiques pour le premier album d'Emilie Simon, une presse unanime qui salue l'émergence d'une artiste unique dans le paysage musical français (in Libération : "la fille illégitime de Björk et Gainsbourg").

Dans la maison d'enfance d'Emilie, il existait un passage qu'elle aimait à croire secret. En l'empruntant, Emilie se laissait glisser d'un monde vers un autre, quittant celui d'une fillette de huit ans pour rejoindre ce sous-sol magique où son père, ingénieur du son de profession, avait installé son studio. A l'âge où d'ordinaire on joue à la poupée Barbie, Emilie observait ainsi les musiciens de passage, le plus souvent des jazzmen, et suivait émerveillée le ballet lumineux des diodes et des vu-mètres. Parfois, ses parents mélomanes l'entraînaient même jusqu'à pas d'heure dans des clubs de jazz, où bercée par les chorus indolents de ces inhabituels marchands se sable, Emilie finissait toujours par s'endormir sur les genoux de sa mère. On a vu naître des vocations pour moins que ça.

Une quinzaine d'années ont filé et voilà Emilie à son tour musicienne, auteur-compositeur-interprète et, disons-le comme ça : ingénieuse des sons. Entre temps, elle a appris à orchestrer des cordes, fréquenté les arcanes de la musique contemporaine la plus épineuse au sein de l'Ircam, et finalement jeté son dévolu artistique sur la pop. A 24 ans, elle a conservé sa voix fluette de petite fille et, sans doute marquée par les antécédents familiaux, elle conçoit et façonne l'essentiel de sa musique à la maison, seule aux prises avec sa guitare, ses machines électroniques et un instrument central au bon fonctionnement de tous les autres : l'imaginaire, qu'elle a débordant et sans frontière. Sur le premier album qu'elle concocte actuellement en secret, elle dévoilera l'an prochain les facettes ô combien surprenantes et les perspectives non moins singulières de sa planète musicale.

En attendant, de son laboratoire Emilie laisse filtrer comme un avant-goût des aventures prochaines ce premier maxi, Desert, où déjà explosent aux oreilles l'audace d'arrangements rarement croisés ailleurs, un goût pour les mélodies faussement naïves mais profondément ébréchées de l'intérieur. Malgré les apparences parfois déroutantes de ses chansons, Emilie Simon n'est pas une fille farouche, elle considère même sa musique comme étant la plus ouverte et disponible possible. Une fois ses deux versions personnelles de Desert (anglaise et française) achevées, elle a d'ailleurs invité d'autres malaxeurs de sons à en remodeler les formes.

désert extrait | excerpt

emilie simon Désert

Les trois remixes qui complètent ce premier maxi démontrent si besoin était l'élasticité des matériaux inventés par Emilie. Le parisien Avril, pour lequel Emilie avait remixé The Date, lui rend ici la politesse en faisant de Desert un subtil jeu de miroirs électro-acoustiques. Dans le cas de Leila, jeune anglo-iranienne orageuse dont Emilie admire les albums, c'est la rythmique et la voix qui priment sur une recomposition électrique et fumigène du morceau. Enfin, les deux cerveaux de Thievery Corporation, ambianceurs électro-lounge de Philadelphie, ont choisi d'en alanguir un peu plus la version française.

« Je suis une fille de nulle-part dans le désert»
Pour l'instant, sertie d'une sorte de halo sonore qui en préserve les mystères, la petite musique d'Emilie Simon apparaît tel un mirage encore imprécis dans le paysage hexagonal. Bientôt, elle constituera une oasis dont il deviendra impossible de se passer.

 

 

contact scène : Christel Martinet
christel.martinet@corida.fr

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